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Jimmy the Kid - James Dean Secret

À l’aube du rock and roll, James Dean marque de son empreinte nos générations. Il symbolise la rupture consommée entre parents et enfants.

 

 

2004, Sud de la France...

Invités par Jean-Noël Coghe, nous partageons quelques jours de vacances. Les discussions sont toujours passionnantes, pertinentes et variées. Les sujets ne manquent jamais.

L’apéro est lancé et Jean-Noël me tend un document, une dizaine de pages A4 sorties de l’imprimante. « Tiens, jette un œil... ! »

Je découvre, parcours cette ébauche... 1955, accident mortel, Rebel Without a Cause ... James Dean !

Je savais que Jean-Noël avait rencontré il y a quelques années les Winslow, oncle et tante de James Dean, qui l’ont élevé. [1]

Fairmount, Indiana... Main Street.

Il m’en parle, me montre ces photos uniques qu’il a prises en 1975 aux USA, à Fairmount, chez Marcus et Ortense Winslow, m’évoque les relations de James Dean avec la jet set, le projet de Mémorial...

Ortense et Marcus Winslow avec leurs petits-fils et Jean-Noël Coghe.

Jean-Noël a commencé son enquête et l’écriture débute : « À l’aube du rock and roll, James Dean marque de son empreinte nos générations. Il symbolise la rupture consommée entre parents et enfants ».

Jean-Noël et moi avons une chose en commun : nous ne lâchons jamais l’os que nous avons goûté, mordu !

J-N Coghe est un puriste, ne supporte pas l’amateurisme.

Le connaissant bien, je sais, dès ce jour, qu’il va foncer, découvrir et acheter des pièces rares via Internet, des fans, des collectionneurs...

L’écrivain va se transformer en enquêteur.

2007, et toujours dans le Sud de la France... Je découvre la maquette quasi terminée.

Des années de recherches intensives, de quête de documents et de photos rares, d’infos peu ou pas exploitées, des centaines d’heures passées à visionner des films, des documentaires, les archives des télés du monde entier, sans compter le travail journalistique effectué aux USA, mènent à un ouvrage passionnant, révélant les multiples facettes de cet acteur hors du commun, mais également du sculpteur, du peintre, du coureur automobile, de ce... géant.


La préface est signée par Bill Wyman et la postface est de Steve Rowland, ami de Dean, Cochran, Presley, également acteur et producteur (Pretty Things, The London Symphony Orchestra, Peter Frampton, Jerry Lee Lewis (the London Sessions), "Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick & Tich", Gloria Gaynor..., découvreur de The Cure...).

« Jimmy the Kid - James Dean Secret », est illustré de près de 550 photos, dessins, documents, dont certains sont inédits.

Voici l’e-mail, le témoignage de Steve Rowland :

Dear Jean-Noel

The book is really great. The Video is fantastic.
I wish you lots of luck for many future sales.

Regards,

Steve Rowland

L’ouvrage est publié chez Hugo doc.



Steve Rowland >>> MORE



Présentation... Copyright Jean-Noël Coghe 2007.


On a tous quelque chose de James Dean...

Elvis Presley, Bob Dylan, Andy Warhol, Frank O’Hara, Martin Sheen, Johnny Depp et tous les autres.

Célèbres ou non. À l’aube du rock and roll, James Dean marque de son empreinte nos générations. Il symbolise la rupture consommée entre parents et enfants.

Jimmy, l’adolescent torturé a magnifié à l’écran et dans sa vie toutes les angoisses, espérances, contestations, désirs et rêves de la jeunesse qui étaient aussi les siens.
Et sont toujours les nôtres.

Il a sublimé les expériences de ses aînés Marlon Brando, Jack Kerouac ou Chet Baker.

Élevé à la campagne dans les valeurs traditionnelles, il fait sa mue à New York, s’impose à Hollywood, mais ne renie jamais ses origines.

Il grogne, il jure, il est exigeant, il a des humeurs, se montre exécrable envers ses amis, dut-il en souffrir.

Mais il aime et respecte les enfants, les animaux et pleure en lisant Le Petit Prince de St Exupéry.

Jimmy The Kid...

Un solitaire, complexe, introverti, exhibitionniste, charmeur, mais toujours authentique.

James Dean est entier, avec ses contradictions, ses excès, ses pudeurs. Sexualité débridée et grand Amour.

Le James Dean Secret , c’est cette curiosité, cette soif de découvrir.

Un caméléon, ivre d’expériences qui confortent ses talents réels de comédien, de peintre, de sculpteur, de musicien, de photographe...

Passionné de tauromachie, il lit Hemingway, découvre Jean Genet.

Eclectique, il écoute Bach et Schoenberg, Jimmie Rodgers et Billie Holiday, il aime Chaplin et apprécie Jacques Tati.

Sportif accompli, pilote émérite, il paie de ses deniers l’objet de ses passions, ne mendie pas la générosité de ses amis.

De juin 1954 à septembre 1955 il tourne trois films, trois classiques East of Eden avec Elia Kazan, Rebel Without a Cause avec Nicholas Ray, Giant avec George Stevens.

Il veut réaliser « Billy The Kid » et donner au théâtre un autre souffle à Hamlet...

Et visiter Paris durant l’automne 1955 pour rencontrer Cocteau, Picasso, errer dans Montparnasse.

Après cette course à Salinas qu’il n’atteindra jamais.

Le 30 septembre 1955 il se tue au volant de sa Spyder.

Victime de l’imprudence d’un tiers et non d’un excès de vitesse.

James Dean entre dans la légende.

Jean-Noël... la tombe de James Dean.
Gros plan sur le Mémorial.

Hemingway, John Dos Pasos, Edgar Morin, Elsa Triolet, Antoine Blondin, Jean Cocteau entre autres saluent l’artiste...

« Marlon Brando a changé la manière de jouer, mais James Dean a changé la façon de vivre » résume Martin Sheen.

On a tous quelque chose de James Dean.

Mais encore faut-il l’assumer.



Roland Van Campenhout, notre ami que JN connais depuis bien plus longtemps que moi, était pote de Rory Gallagher.

Il l’accompagnera en tournée.

Roland vient de publier son dernier album, le plus personnel assurément.

L’album va droit au cœur, droit au Blues.

Never Enough

Un opus extraordinaire, indispensable (rien à jeter... et c’est très rare), produit par Tom Van Laere, alias Admiral Freebee.
Un son à vous décrocher, à vous exploser les haut-parleurs de votre chaîne HI-FI ou à éjecter de vos oreilles les écouteurs de votre MP3 !

Superbe production de l’Admiral Freebee.

Le rapport avec cet article... ?

"It All Has To Do With It", la 7ème plage du CD, qui évoque... James Dean !

Voici un extrait, traduit librement, de l’interview de Rudy Vandendaele parue dans le magazine Humo n° 3522 du 4 mars 2008.

Rudy Vandendaele : Dans la chanson « It All Has to Do with it » tu composes, dans ton esprit, l’« homme idéal ».

Roland : Une part de Bouddha, quelques parts de reine vaudou - c’est un ingrédient de la Nouvelle Orléans, et par conséquent d’Afrique - et puis une cuillerée d’Ensor - Ostende, Belge et Flamand - et une grande quantité de James Dean. Avec tout ça, on fait un personnage fantastique, non ?

Mais pour moi, il s’agit plutôt d’une atmosphère idéale.

James Dean reste pour moi une icône très forte, bien qu’il soit devenu peut-être un cliché de la révolte.

J’ai un ami qui s’appelle Jean-Noël Coghe et qui était journaliste au magazine Rock & Folk. Il a publié récemment un livre sur James Dean.

Je ne savais pas qu’il y travaillait, et il était stupéfait d’apprendre que j’évoque aussi James Dean sur mon nouveau CD. Donc : « It all has to do with it ».

Jean-Noël est allé très loin dans ses recherches.

Extrait de l’interview de Rudy Vandendaele parue dans le magazine Humo n° 3522 du 4 mars 2008.



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[1Voir l’ouvrage "Autant en emporte le Rock"

 

 

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